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Ceci est un post traduit par IA.
[Fukuoka]1 Aéroport > Hakata (taxi), anguilles grillées, parc Maizuru/parc Ohori, tour de Fukuoka, yakitori
- Langue de rédaction : Coréen
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Pays de référence : Tous les pays
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- Voyage
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Texte résumé par l'IA durumis
- Lors de mon voyage à Fukuoka au Japon, j'ai vécu de nombreuses expériences, notamment eSIM, taxi, anguilles grillées, festival des cerisiers en fleurs, tour de Fukuoka, bus, brochettes, et j'ai été particulièrement impressionné par les anguilles grillées et les brochettes.
- En particulier, les anguilles grillées étaient un délice, préparées avec le savoir-faire d'un artisan de la troisième génération, et leur texture fondante en bouche était incroyable. Les brochettes étaient également très satisfaisantes, avec une grande variété de sortes et de saveurs.
- J'ai pu admirer de magnifiques paysages de jour comme de nuit depuis la tour de Fukuoka, et j'ai passé un moment agréable en participant au festival des cerisiers en fleurs et en découvrant la culture japonaise.
Avis sur l'eSIM
J'ai un iPhone 10s, qui est compatible avec l'eSIM, donc j'ai préparé l'eSIM en Corée avant de partir et
j'ai changé pour l'eSIM dès mon arrivée au Japon, et ça marchait très bien.
C'est 1 Go par jour, et j'ai acheté un forfait de 3 jours chez SoftBank, ce qui m'a coûté 6 230 wons. En fin de compte, j'en suis très satisfait.
Je n'ai pas besoin de changer de carte SIM, donc si j'en ai besoin rapidement, je peux l'acheter en ligne au Japon et l'utiliser immédiatement, c'est vraiment pratique !
Les modèles Galaxy ne sont pas tous compatibles, alors vérifiez bien avant d'acheter !
Aéroport -> Hakata (taxi)
Pour se rendre à Hakata depuis l'aéroport, il y a le bus, le métro et le taxi,
mais nous étions 3 et avions des bagages, nous avons donc décidé de prendre un taxi.
Au Japon, les portes des taxis s'ouvrent automatiquement, il ne faut donc pas essayer de les ouvrir soi-même !
C'était la première fois que j'utilisais des portes automatiques ... c'était bizarre, mais j'avais l'impression d'être traité comme un roi +_+ ! ! !
Bien que les tarifs soient élevés, je pense que c'est une bonne idée de prendre un taxi au moins une fois pendant votre voyage.
Nous avons mis environ 15 minutes pour nous rendre à l'hôtel situé à la gare de Hakata et nous avons payé environ 1 800 yens (18 000 wons).
Anguille grillée
Unagi 4 daime Kikugawa Haruyoshi branch
Ma sœur, qui est venue avec moi, avait réservé à l'avance, et nous sommes arrivés pile à 13 h.
C'était un restaurant élégant avec vue sur la rivière Naka.
Le menu indique que c'est un restaurant d'anguille grillée qui existe depuis trois générations, et derrière une vitre transparente, on pouvait voir des artisans en train de badigeonner des anguilles et de les faire griller sur des grilles. Voilà ce qu'est l'esprit artisanal japonais !
En fait, quand nous sommes entrés au début, on entendait beaucoup de coréen, donc je n'avais pas beaucoup d'attentes.
Mais dès que j'ai mis une bouchée d'anguille dans ma bouche, j'ai pensé que toutes ces files d'attente à l'immigration et ces billets d'avion chers n'étaient-ils pas pour ça ?
C'était tellement bon.
Elle fond dans la bouche. Après avoir mangé ça, j'aurais pu rentrer chez moi.
Elle est servie avec de l'ochazuke (thé vert et riz) que l'on peut également manger. J'ai mangé les 3/4 directement et le 1/4 restant avec du thé vert, ce qui était également une expérience différente.
L'arôme de l'anguille, l'eau et le riz se marient bien, et la texture est différente, ce qui rend le plat amusant à déguster.
Si quelqu'un se rend à Fukuoka, je lui recommande vivement ce restaurant.
Recommandation d'anguille grillée à Fukuoka !
Parc Maizuru/Parc Ohori
Nous avons visité le parc Ohori et le parc Maizuru en même temps que la saison des cerisiers en fleurs.
Les deux parcs sont côte à côte, donc on peut les visiter tous les deux.
Le parc Ohori a un grand lac au centre, donc on peut faire le tour du lac et se promener.
Il y a un Starbucks au centre, ce qui en fait une bonne occasion de visiter un Starbucks japonais.
(La queue est longue, mais ça se fait assez rapidement, donc ça vaut le coup d'attendre).
Il y avait un festival de cerisiers en fleurs, donc nous avons pu profiter pleinement des festivités japonaises.
Festival des cerisiers en fleurs du parc Ohori
Festival des cerisiers en fleurs du parc Ohori - Scènes de matsuri que l'on ne voit que dans les mangas !
Si vous sortez du parc Ohori et que vous allez vers la gauche, vous arrivez directement au parc Maizuru.
En route pour le parc Maizuru
Le parc Maizuru était également en pleine floraison de cerisiers, donc il était joliment décoré et il y avait un festival plus important.
Nous avons beaucoup fait de tourisme.
Le soir, les cerisiers en fleurs étaient magnifiquement illuminés, et il y avait des spectacles et des stands de nourriture à différentes heures de la journée.
C'est un festival ! ! ! Le timing était parfait.
J'ai vu tous les cerisiers en fleurs ici pour cette année ! ! !
Tour de Fukuoka
Avant le coucher du soleil, nous avons pris un taxi pour nous rendre à la tour de Fukuoka.
(Cela nous a coûté environ 1 710 yens. Ma sœur a utilisé l'application Didi Taxi pour commander un taxi, et il est arrivé rapidement. C'est comme Kakao Taxi ! ! !)
Plage de Momochi
Avant de monter au sommet de la tour, nous avons visité la plage de Momochi, qui se trouve juste devant.
On dit que l'île artificielle, appelée Marijon, qui se trouve devant la plage de Momochi, est utilisée comme lieu de réception de mariage.
La plage de Momochi est une plage artificielle, et c'est une zone touristique côtière qui vend diverses boissons et souvenirs, y compris des glaces.
Plate-forme d'observation de la tour de Fukuoka
Le billet d'entrée pour la plate-forme d'observation est relativement bon marché, à 800 yens pour un adulte.
Une fois en haut, on a une vue imprenable sur la ville de Fukuoka et sur la côte.
Nous sommes montés avant le coucher du soleil pour profiter de la vue,
et avons attendu un peu dans le café situé un étage en dessous du sommet pour profiter de la vue nocturne.
C'était un moment agréable, car la vue était magnifique avant et après le coucher du soleil.
Il y avait beaucoup plus de monde quand il faisait sombre.
Le café était initialement fermé par une barrière, mais
nous n'y avons pas cru ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! !